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ÉTUDE SUR LES ÉMISSIONS DE L'INFLUENCE PUBLICITAIRE
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Est-ce que je fais du double comptage ? Si mon client compte déjà les émissions de carbone associées aux ventes des marques que nous promouvons, alors pourquoi dois-je le faire aussi, en tant que leur agence ?Dans le monde de la comptabilité carbone, il s'agit d'une pratique courante. Par exemple, lorsque vous signalez les émissions de carbone de l'approvisionnement en électricité de votre bureau et que vous cherchez à les réduire, ces émissions sont également comptabilisées par les sociétés énergétiques auprès desquelles vous achetez, et elles les réduisent également dans le cadre de leurs plans net zéro. Vous essayez tous les deux de réduire les mêmes émissions. Le fait que chacun tente de réduire ses émissions, même en cas de chevauchement, nous permet à tous de pousser vers l'atteinte et la réalisation d’un objectif bas carbone plus rapidement. Et de même, lorsqu'un client parvient à réaliser des réductions d'émissions dans sa chaine d’approvisionnement, votre agence pourra également comptabiliser ces réductions dans vos émissions de l’influence publicitaire (EIP).
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Ma publicité est conçue pour amener les gens à choisir ma marque qui, autrement, auraient choisi celle d'un concurrent. Donc, si la publicité est à l'origine d'une hausse pour ma marque, cela ne sera-t-il pas contrebalancé par une baisse pour un concurrent ?Parfois oui, parfois non, cela dépend de l'environnement concurrentiel de votre marque. En pratique, et sans recherche approfondie et à jour, il est peu probable que vous sachiez si vos émissions de l’influence publicitaire (EIP) seront compensées ailleurs, et vous ne pouvez pas supposer le meilleur. Pousser vers le bas carbone exige que chacun assume la responsabilité de chaque émission de carbone qu'il peut contrôler ou influencer directement ou indirectement, indépendamment de ce qui se passe ailleurs.
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J’ai déjà décidé de m’engager à mesurer et réduire mes émissions publicitaires (EP) grâce à l’outil de Masse Critique ou d’autres outils partenaires média. Pourquoi est-ce que je dois aussi calculer et mesurer mes émissions de l’influence publicitaire?La mesure et la réduction des émissions publicitaires sont cruciales et sont une importante première étape. Toutefois, cela ne prend pas en considération la conséquence de la publicité placée dans le monde - la raison pour laquelle l'industrie de la publicité existe dans l'économie. Il y a une énorme empreinte carbone associée à l'augmentation des ventes que la publicité crée et dont l'industrie doit assumer la responsabilité. En choisissant de mesurer et de réduire nos émissions de l’influence publicitaire (EIP), cela nous permet de le faire et, à travers cela, nous permet d'utiliser notre créativité pour faire évoluer la société vers un avenir plus durable.
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Nous prenons déjà le positionnement et la raison d’être de la marque au sérieux, n'est-ce pas suffisant ?L'objectif de la marque peut permettre aux marques de faire des progrès positifs en aidant à résoudre une variété de problèmes sociaux et environnementaux. Mais faire du bien de ce genre ne réduit pas la nécessité de faire moins de mal ailleurs. La réduction de la quantité de carbone émise n'est pas une conséquence facultative mais une responsabilité nécessaire de chaque organisation. La majorité des publicités qui présente « un positionnement de marque » ne tient pas compte de l'empreinte carbone qui résulte de l'augmentation des ventes générées et cela peut être directement abordé à travers les choix que fait l'industrie de la publicité. Les émissions de l’influence publicitaire (EIP) ne remplacent pas l'objectif d’un positionnement pertinent de marque, mais peuvent le compléter.
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Je ne pourrai pas accéder aux données sur mes émissions de l’influence publicitaire (EIP), alors comment puis-je calculer mon empreinte totale ?Masse Critique s'engage à développer un outil permettant aux agences et aux marques de calculer leurs propres émissions de l’influence publicitaire (EIP). Pour la rédaction de ce rapport, nous avons utilisé des moyennes de catégories ainsi qu'une banque de données pour calculer les émissions annoncées pour le Québec.
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Pourquoi le total des émissions de l’influence publicitaire au Québec représente-t-il un si grand pourcentage des émissions totales du Québec? Ce chiffre est-il crédible ?La raison pour laquelle cela est si important est que les émissions de l’influence publicitaire englobent les émissions de consommation et que bon nombre des choses que nous consommons sont fabriquées en dehors du Québec et ne sont donc pas incluses dans les émissions territoriales du Québec.
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Si ma publicité ne fait que promouvoir ma marque, et non vendre un produit, y a-t-il des émissions qui y sont associées ? Et s'il s'agit de promouvoir un produit ou un message plus durable ?La mesure utilisée dans la recherche saisit l'augmentation moyenne des revenus provenant des ventes de biens générées par la publicité par secteur. Ce n'est donc pas le message qui est mesuré, mais le résultat réel de la diffusion de la publicité. La publicité et la commandite entraineront une demande supplémentaire de produits et des émissions de carbone qu'ils produisent. Et la publicité d'un produit « héros » à faible émission de carbone est susceptible de stimuler également les ventes de produits à forte émission de carbone de la même marque. La croissance de vente totale générée par la publicité est ce qui est mesuré.
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Si ma publicité vend des produits à faible émission de carbone au lieu de produits à forte émission de carbone, mes émissions de l’influence publicitaire (EIP) diminueront-elles ?Oui, mais avec le temps. Tous les biens et services vendus, même ceux à faible émission de carbone, ont une empreinte carbone à travers leur création, leur distribution, leur utilisation et leur élimination. L'augmentation totale des émissions créée par la vente de ceux-ci est incluse dans les émissions de l’influence publicitaire (EIP). Ainsi, chaque produit supplémentaire vendu (même s'il est à faible émission de carbone) aura un impact net positif et entrainera une augmentation des émissions de l’influence publicitaire (EIP). Cependant, la méthode peut être utilisée pour mesurer les progrès au fil du temps. Ainsi, si une marque ou un secteur commence à vendre des produits à faible émission de carbone au lieu de produits à forte émission de carbone, cela se traduira au fil du temps par une réduction des émissions de l’influence publicitaire (EIP) en chiffre absolu.
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Est-ce que je fais du double comptage ? Si mon client compte déjà les émissions de carbone associées aux ventes des marques que nous promouvons, alors pourquoi dois-je le faire aussi, en tant que leur agence ?Dans le monde de la comptabilité carbone, il s'agit d'une pratique courante. Par exemple, lorsque vous signalez les émissions de carbone de l'approvisionnement en électricité de votre bureau et que vous cherchez à les réduire, ces émissions sont également comptabilisées par les sociétés énergétiques auprès desquelles vous achetez, et elles les réduisent également dans le cadre de leurs plans net zéro. Vous essayez tous les deux de réduire les mêmes émissions. Le fait que chacun tente de réduire ses émissions, même en cas de chevauchement, nous permet à tous de pousser vers l'atteinte et la réalisation d’un objectif bas carbone plus rapidement. Et de même, lorsqu'un client parvient à réaliser des réductions d'émissions dans sa chaine d’approvisionnement, votre agence pourra également comptabiliser ces réductions dans vos émissions de l’influence publicitaire (EIP).
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Ma publicité est conçue pour amener les gens à choisir ma marque qui, autrement, auraient choisi celle d'un concurrent. Donc, si la publicité est à l'origine d'une hausse pour ma marque, cela ne sera-t-il pas contrebalancé par une baisse pour un concurrent ?Parfois oui, parfois non, cela dépend de l'environnement concurrentiel de votre marque. En pratique, et sans recherche approfondie et à jour, il est peu probable que vous sachiez si vos émissions de l’influence publicitaire (EIP) seront compensées ailleurs, et vous ne pouvez pas supposer le meilleur. Pousser vers le bas carbone exige que chacun assume la responsabilité de chaque émission de carbone qu'il peut contrôler ou influencer directement ou indirectement, indépendamment de ce qui se passe ailleurs.
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J’ai déjà décidé de m’engager à mesurer et réduire mes émissions publicitaires (EP) grâce à l’outil de Masse Critique ou d’autres outils partenaires média. Pourquoi est-ce que je dois aussi calculer et mesurer mes émissions de l’influence publicitaire?La mesure et la réduction des émissions publicitaires sont cruciales et sont une importante première étape. Toutefois, cela ne prend pas en considération la conséquence de la publicité placée dans le monde - la raison pour laquelle l'industrie de la publicité existe dans l'économie. Il y a une énorme empreinte carbone associée à l'augmentation des ventes que la publicité crée et dont l'industrie doit assumer la responsabilité. En choisissant de mesurer et de réduire nos émissions de l’influence publicitaire (EIP), cela nous permet de le faire et, à travers cela, nous permet d'utiliser notre créativité pour faire évoluer la société vers un avenir plus durable.
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Nous prenons déjà le positionnement et la raison d’être de la marque au sérieux, n'est-ce pas suffisant ?L'objectif de la marque peut permettre aux marques de faire des progrès positifs en aidant à résoudre une variété de problèmes sociaux et environnementaux. Mais faire du bien de ce genre ne réduit pas la nécessité de faire moins de mal ailleurs. La réduction de la quantité de carbone émise n'est pas une conséquence facultative mais une responsabilité nécessaire de chaque organisation. La majorité des publicités qui présente « un positionnement de marque » ne tient pas compte de l'empreinte carbone qui résulte de l'augmentation des ventes générées et cela peut être directement abordé à travers les choix que fait l'industrie de la publicité. Les émissions de l’influence publicitaire (EIP) ne remplacent pas l'objectif d’un positionnement pertinent de marque, mais peuvent le compléter.
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Je ne pourrai pas accéder aux données sur mes émissions de l’influence publicitaire (EIP), alors comment puis-je calculer mon empreinte totale ?Masse Critique s'engage à développer un outil permettant aux agences et aux marques de calculer leurs propres émissions de l’influence publicitaire (EIP). Pour la rédaction de ce rapport, nous avons utilisé des moyennes de catégories ainsi qu'une banque de données pour calculer les émissions annoncées pour le Québec.
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Pourquoi le total des émissions de l’influence publicitaire au Québec représente-t-il un si grand pourcentage des émissions totales du Québec? Ce chiffre est-il crédible ?La raison pour laquelle cela est si important est que les émissions de l’influence publicitaire englobent les émissions de consommation et que bon nombre des choses que nous consommons sont fabriquées en dehors du Québec et ne sont donc pas incluses dans les émissions territoriales du Québec.
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Si ma publicité ne fait que promouvoir ma marque, et non vendre un produit, y a-t-il des émissions qui y sont associées ? Et s'il s'agit de promouvoir un produit ou un message plus durable ?La mesure utilisée dans la recherche saisit l'augmentation moyenne des revenus provenant des ventes de biens générées par la publicité par secteur. Ce n'est donc pas le message qui est mesuré, mais le résultat réel de la diffusion de la publicité. La publicité et la commandite entraineront une demande supplémentaire de produits et des émissions de carbone qu'ils produisent. Et la publicité d'un produit « héros » à faible émission de carbone est susceptible de stimuler également les ventes de produits à forte émission de carbone de la même marque. La croissance de vente totale générée par la publicité est ce qui est mesuré.
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Si ma publicité vend des produits à faible émission de carbone au lieu de produits à forte émission de carbone, mes émissions de l’influence publicitaire (EIP) diminueront-elles ?Oui, mais avec le temps. Tous les biens et services vendus, même ceux à faible émission de carbone, ont une empreinte carbone à travers leur création, leur distribution, leur utilisation et leur élimination. L'augmentation totale des émissions créée par la vente de ceux-ci est incluse dans les émissions de l’influence publicitaire (EIP). Ainsi, chaque produit supplémentaire vendu (même s'il est à faible émission de carbone) aura un impact net positif et entrainera une augmentation des émissions de l’influence publicitaire (EIP). Cependant, la méthode peut être utilisée pour mesurer les progrès au fil du temps. Ainsi, si une marque ou un secteur commence à vendre des produits à faible émission de carbone au lieu de produits à forte émission de carbone, cela se traduira au fil du temps par une réduction des émissions de l’influence publicitaire (EIP) en chiffre absolu.
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